lundi 18 avril 2011

Désembiguation forte, bref, du xml linguistique
(Et vous vivez à Paris)

Il fut un temps où la musique thématique des victuailles et des cyprès lointains emplissaient nos poumons d'ardeur belliqueuse, faisant fi d'un monde inerte où l'entropie l'emportait sur le dernier épisode de "3 Fois Rien". Hélas, l'aube jaillit d'elle-même, emportant les cadavres de nos infortunes et les agrégats de nos illusions non-fondées au-delà des soupirs de nos ainés et de la torpeur de nos contemporains; l'aube les emporte, certes. L’origami excessif de notre vicissitude nous lassera peu à peu, nous encourageant à échanger la sourde oreille contre une calvitie non-réclamée d'une idole de Mont-Joie.

Le Sauveur n'avait pas un clou; ses tortionnaires ont fait preuve de générosité en le fixant si solidement à son destin.

L'énigme du changement semble suggérer un rapport indirectement proportionnel entre ma perception décroissante de ce qui est admirable et ce dont les gens du monde en général se gavent.

Confession: je ne me gave plus; ceci n'indique aucunement que je n'ai plus faim.

1 commentaire:

  1. Stuff & PontViau font des siennes. Leurs agrégats géants foncent en scéances dévastatrices au risque d'échaper leur pelle mécanique. Il neige du haut du Ciel et les amas remplissent les bennes à ras-le-bol. Heureusement, le camion avance. Merci.

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