vendredi 7 septembre 2012

Noir mais vivifiant. Comme une maison carbonisée sur la Côte d’Azur lors d’une belle nuit d’été.

La rétroaction fulgurante des mi-temps en saison sèche n’approxime qu’inadéquatement la surface légitime et semi-transparente des équerres métalloïdes dont la miroitante réflexion argentique n’a de but autre que celle de suffire à la complémentarité du compas d’origine.

Le synopsis que devait suivre la foule était criblé d’annotations cryptiques telle que: “Lorsque la Gauche suit une courbe rectiligne et que la Droite croise obligatoirement l’Asymptote, hululez aveuglément comme un rossignol ayant compris que l’aisance de Dieu devant l’oubli humain n’a d’égal que la mémoire engorgée de soubresauts inannotables».

Peu se souvinrent de ces instructions lorsque les forces de l’ordre se mirent à tirer sur la foule.

2 commentaires:

  1. L'azur carbonisé, dont la miroitante réflexion argentique se met à tirer sur la foule, est criblé d'équerres et de rossignols. Comme une maison noire qui hulule devant l’oubli humain, lorsque les annotations cryptiques et fulgurantes n’approximent qu’inadéquatement le synopsis d'origine.

    Le compas est engorgé de soubresauts aveugles.

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    1. La soif de vérité n'a comme soulagement que l'approximation méditative de la gnose ou encore la sapience manifeste cédant sa place à la trop répandue dissonance cognitive.

      Le Silence est d'or et déjà, cela s'entend.

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