lundi 10 septembre 2012

...lorsque la bise fut venue

« Au demeurant inflexible, la toile cède sous l’impulsion lumineuse et vague à l’encontre des protons dont la charge se seconde seulement par un manque total d’illumination. L’eau ruisselle jusqu’à épuisement des stocks et Wall Street (glauque dans les meilleures circonstances) se fard comme un paralipomène de carnaval en manque d’appétit mais vorace d’insalubrité sociétale. Gare à l’impondérable, surtout si celui-ci est précédé d’une locomotive à flamme sacrée (loco-votive). »

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L’ancêtre de l’Homme est l’homme, sauf qu’il n’a laissé aucune adresse et la poste restante refuse d’entreposer la correspondance de mise plus de trois ans.

Héliocéphale de Rorschach, Essais,
Presses Universitaires de l’Île d’Elbe, 1935

2 commentaires:

  1. L’eau lumineuse n’a laissé aucune adresse. La bise des protons lorsque la toile cède sous l'impulsion vorace d'une locomotive. La flamme inflexible refuse de précéder l'homme héliocéphale, d'entreposer l'impondérable qui ruisselle.

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  2. L'entreposage ruissellant des cèdres implulsifs s'adresse à l'impondérable locomotive, lumineuse comme une eau héliocéphale qui, comme la toile, envisage la flamme inflexible de l'homme et l'apparente aux protons diffus.

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