mardi 1 mai 2018

Jaunisse & Balafre au temps des flamèches

Flim le péruvien théobald et son chien Benoît s'en vont chez St‑Augustin pour une dégustation de vermicelle au riz. D'abord déconfits, ils s'en prirent chacun une portion qu'ils gardèrent pour soi.
Flim le chien dit à Benoît le théogradure "Mords-moi le mollet, je rêve". L'autre d'obtempérer: "avec joie, j'avais soif".
La messe fini plus tôt avec environ une heure de retard, mais le trafic est moins lourd qu'une enclume. Sans souci, Geneviève sortie seule, sans soucis. Bref.
Le chatoyant candélabre qui la coiffait, collait au vent d'une parure accélérante mais brève. Bref (II).
Jamais bot sans doigt, qu'on se le dise.

2 commentaires:

  1. Je trouve la faim violente. Était-ce vraiment nécessaire?

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    1. Selon le Guide Alimental Canadien, la nécessité exige qu'une faim de non-recevoir soit comblée par la prise de conscience du manque à gagner dont la violence fortuite fait dégénèrer par entropie interposée l'agrégat perceptuel de nos sens indisciplinés.

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