mardi 16 novembre 2010

Rome & Coke

L'intransigeance du marteau, face à son remplacement par un outil de propagande, faisait sa marque sur le front populaire. Le violoniste d'extrême-droite fuyait devant les flammes générées par ses effluves harmoniques qui enveloppaient, tel un linceul champêtre, les cendres de la république consentante. DeFacto et Sui Generis riaient seuls, sur la place publique déserte. La flamme de leur passion dévorante les accueillait par la porte de derrière, telles que les flammes sous-jacentes de la ville les entouraient par la porte avant. L'odeur caractéristique de porc rôti s'élevait de la ville tel un fumet acquiesçant aux barbares: Rome était prête.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire